Francine Calame
Femmes idéales, ou… idéal de femmes ?
Sculpture
Francine Calame nous ouvre son univers fantastique. Les sculptures ont été créées à partir de bois flotté, de pierres, et aussi de papier à base de fibres naturelles provenant de l’ail, de la rhubarbe ou encore des asperges. L’origine de ces sculptures est à chercher dans les petites statues féminines du paléolithique, ainsi que dans les déesses de diverses mythologies. Déesse ou diablesse, fée, mère, sœur, fille ou épouse, amante, alliée ou ennemie … Il y a autant d’identités caractérisant une femme qu’il y a de femmes.
Annulé !
Du 20 mars au 5 avril
Vernissage 20 mars à 18h00
Katia Bucher
Peintures sur toile et galets
Katia Bucher présente des galets en marbre peints à l’acryl et posca, ainsi que des peintures exécutées avec la même technique. Chaque galet, d’une taille impressionnante (env. 30 cm), est observable sous trois angles différents. Les peintures, à l’huile ou à l’acrylique, sont réalisées sur papier et fixées sur un châssis en bois (50 x 64 cm). Voilà un univers aux accents aborigènes, où les couleurs éclatantes dansent et se marient entre elles, au point de susciter joie et positivité.
Nouvelles dates !
Du 19 juin au 7 juillet 2020
Pascale Lavanchy
ExO-Terres
ExO-Terres exprime la fascination de Pascale Lavanchy pour la compréhension de l’univers. Le monde interstellaire la fascine, et ses œuvres sont comme des paysages abstraits que l’on pourrait imaginer trouver sur d’autres planètes, à des milliers d’années-lumière de la nôtre. D’origine vaudoise et autodidacte, l’artiste a d’abord travaillé avec du textile comme matière de prédilection. Dès 2013, lors de son arrivée dans le canton du Jura, elle s’est orientée vers la peinture abstraite en mêlant différents médiums, et en retravaillant les détails sur une base plutôt aléatoire et instinctive, à laquelle s’ajoute parfois des éléments de gravure à l’épargne.
Du 26 août au 6 septembre
Vernissage 26 août à 18h
Jean-Marc Steiner
Humaines présences
Ne cherchez pas de message particulier dans les photographies de Jean-Marc Steiner : celui-ci est dévoilé dans ses compositions, et c’est tout au plus par une retouche de lumière, parfois une superposition, qu’un équilibre particulier atteint. La plupart des images ne sont pas recadrées, c’est à la prise de vue que l’œil a décidé de la composition du tableau. Par ailleurs, certaines des photos exposées ont été prises avec un smartphone… De petits textes les accompagnent parfois, des mots posés là suite aux souvenirs qui remontent à la surface en contemplant l’image. Des images sans être humain, mais où sa présence est partout.
Du 18 septembre au 4 octobre
Vernissage 18 septembre à 18h00